JUSTICE /CANADA : Le Sieur Zakaria Moumni Condamné Pour ‘’Diffamation’’
La justice canadienne vient de rendre son verdict quant dans l’affaire concernant Zakaria Moumni. En effet, le sieur Z. Moumni reconnu coupable de ‘’diffamation’’, a été condamné par la Cour Suprême du Canada siégeant à Montréal, et à verser 30 000 $ canadiens à M. Rachid NAJAHI, Directeur Général du Groupe Atlas Media, en réparation des préjudices causés par des propos infondés tenus publiquement.
Le sieur Zakaria Moumni a été condamné, le 27 juillet 2023, pour diffamation par la justice canadienne. Il doit en plus verser la somme de 30 000 $ canadiens au Directeur Général du Groupe Atlas Media, M. Rachid Najahi, en guise de réparation des préjudices causés par des propos infondés tenus en public.
L’affaire remonte au 29 juillet 2022 lors de la célébration de la 7è édition de la Glorieuse Fête du Trône, organisé à Montréal au Canada, par Rachid Najahi et le groupe Atlas media. Au cours de cette commémoration, le sieur Moumni avait troublé la célébration en tenant des propos discourtois et injurieux envers les Marocains présents et les convives.
Selon les témoignages, Z. Moumni avait notamment accusé le Directeur général du groupe Atals Media d’être un « agent stipendié » du gouvernement du Royaume du Maroc. Il avait en outre affirmé que cette Fête marocaine était une « activité de propagande financée par le gouvernement ». Une affirmation gratuite et sans preuve qui avait été démonté devant la Cour, car, il faut le souligner, « la Fête marocaine est autofinancée et n’a jamais reçu aucune subvention institutionnelle ou étatique ».
Pour couronner le tout, le sieur Z. Moumni avait agressé physiquement trois participants à cette célébration. Un cocktail auquel il n’a pas pu échapper devant la justice canadienne.
Le verdict de la Cour ordonne ainsi à Moumni de verser 20.000 $ à R. Najahi pour atteinte à la réputation, et 10.000 $ au titre de dommages-intérêts.
Le jugement de la Cour Suprême du Canada a tenu ainsi à rétablir la vérité et la responsabilité dans la diffusion d’informations publiques.
Pour Rachid Najahi, « cette décision protège les droits et la réputation des individus ».