Attaquer Hammouchi, c’est
agresser l’État
NaBae24
Il est des hommes dont le nom n’a pas besoin d’écho pour imposer le respect. Abdellatif Hammouchi est de ceux-là. Dans l’ombre, il veille, ferme les brèches invisibles, maintient l’ordre là où le chaos pourrait surgir, porte la confiance du Roi et la sécurité des citoyens sur ses épaules. Son visage est discret, sa parole rare, mais son action, elle, soutient la nation.
Il ne cherche ni la lumière ni la reconnaissance, il agit, il protège, il incarne la vigilance de l’État là où l’insécurité rôde, là où la menace se tapit, là où la stabilité du Maroc se joue. Mais comme souvent, ceux qui veillent dans le silence deviennent des cibles bruyantes. Aujourd’hui, Hammouchi est visé par une offensive médiatique orchestrée, depuis l’étranger, plus précisément par la junte militaire algérienne et ses relais bien huilés à l’extérieur comme à l’intérieur. Ce n’est pas un débat qu’ils veulent soulever, c’est une guerre. Une guerre de l’ombre, une guerre contre le Maroc. On l’aura compris, des forces étrangères à nos valeurs, obsédées par nos failles imaginaires, tentent de briser ce qui ne peut être brisé : l’intégrité, la loyauté, l’honneur.
Bien évidemment, ces attaques ne tombent pas du ciel. Elles sont préméditées, stratégiques, méthodiques. On fabrique des récits, on répand des rumeurs, on invente des conspirations. On s’imagine qu’en faisant vaciller une figure, on pourra fissurer l’Institution. Mais derrière Hammouchi, il y a plus qu’un homme, il y a la DGSN, la DGST, l’appareil sécuritaire tout entier. Et derrière cet appareil, il y a l’État. Le Royaume.
Or qui peut encore prêter foi à ces accusations infondées ? Qui peut relayer des rumeurs et des insinuations sans preuve, prétendant dévoiler des complots fabriqués de toutes pièces? Jabaroot… Derrière ce mot se cache une mécanique de la calomnie. Pas de faits, pas de preuves, rien que du poison. Il n’y a que la haine servie froide, le venin distillé avec patience, et l’art calculé de semer le doute là où règne la fidélité. C’est la rage des envieux, la patience des ennemis et la tactique de la manipulation. Une arme psychologique, une opération de guerre informationnelle, du sabotage à peine maquillé.
Mais qu’on ne s’y trompe pas. Jabaroot n’est pas la vérité tombée du ciel. C’est une arme de guerre psychologique, maniée dans l’ombre pour diviser et déstabiliser. Alors qui tire ces fils invisibles ? Qui sont ces ennemis qui vivent parmi nous, qui parlent notre langue mais qui ignorent l’amour de notre terre ? Ceux-là qui prétendent dénoncer, ne font que cracher leur poison sur l’Institution qui garantit notre sécurité, et, par extension, sur le Roi et sur le Maroc lui-même. Sauf que le Maroc n’est pas dupe. Le citoyen marocain, aujourd’hui, plus éveillé que jamais, sait reconnaître une campagne de haine. Il sait que derrière les attaques contre Hammouchi, c’est la confiance dans nos institutions qu’on vise. C’est le lien entre le peuple et le Roi qu’on cherche à fracturer. C’est la sécurité du pays qu’on veut ébranler.
Ils oublient que Hammouchi n’est pas seul. Il est l’incarnation d’une mission sacrée, celle de protéger la patrie. Ces attaques ne visent donc pas seulement un homme, elles ciblent un symbole, une Institution et, par extension, le Royaume tout entier. Elles s’attaquent à cette machine silencieuse et rigoureuse qui veille sur nos frontières, sur nos villes, sur nos citoyens. Ceux qui l’attaquent s’en prennent à la muraille, à l’un des remparts du pays. S’attaquer à Hammouchi, c’est vouloir ébranler la confiance que Sa Majesté porte à ses institutions, ciment de notre stabilité nationale. De fait, les accusations « trahison, divulgation de secrets » ne sont que fumée, illusions brandies pour affoler, diviser, fragiliser, salir. Mais la vérité est droite, simple, nue. Compétence, fidélité, rigueur n’ont besoin d’aucune justification.
Ces campagnes utilisent ainsi la rumeur comme projectile, la peur comme levier et le sensationnalisme comme moteur. Mais elles échouent face à la réalité : un État solide, une armature sécuritaire intègre et un peuple capable de reconnaître le dévouement et la compétence. Derrière le masque des accusations, il y a la manipulation, il y a la haine, il y a l’illusion d’une faille dans l’édifice marocain.
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