🔴Les dernières lamentations de Khariando avant la cellule🔴
Dans une vidéo publiée sur la chaîne YouTube “Fos7a”, Hicham Jerando, alias Khariando, a livré un monologue théâtral annonçant sa reddition volontaire aux autorités canadiennes. Prétextant un procès “politique”, il a annoncé entamer une grève de la faim dès son incarcération. Fidèle à ses habitudes de manipulation, il tente de se poser en victime d’un supposé complot d’État, désignant sans preuve des hauts responsables marocains comme boucs émissaires.
L’imposteur n’a pas hésité à nommer publiquement ses victimes, Adil Said Lamtiri, Najim Bensami et Abderrahim Hanine, en divulguant leurs adresses personnelles, dans une dérive dangereuse relevant davantage de la vengeance personnelle que de la défense des droits humains. Il va même jusqu’à accuser les services de renseignement marocains de les soutenir, poursuivant ainsi sa stratégie de diffamation et de confusion.
Mais derrière ce discours victimaire se cache une réalité plus simple : Jerando a refusé d’obtempérer aux injonctions de la justice canadienne, notamment en maintenant en ligne les vidéos faisant l’objet de plaintes. Son incarcération, loin d’être le fruit d’un quelconque complot, est la conséquence directe de son mépris des lois et de son comportement récidiviste. La justice canadienne, connue pour son impartialité, n’a fait qu’appliquer le droit.
Avant de passer la porte de sa cellule, Jerando a tenté un dernier coup médiatique, prétendant que sa chaîne “Tahadi” vivra au-delà de sa mort, dans un ton quasi messianique. Mais cette tentative de se forger une légende ne fait que confirmer une chose : Khariando n’a jamais été qu’un imposteur, obsédé par sa propre image, et désormais rattrapé par la justice.
